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8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 20:09

Le Kaz'Art présente :
Chansons "de la Commune à 1936" interprétées par Malène accompagnée de Rose à l’accordéon.

Vendredi 12 février à 20 h 30
Entrée libre (participation "au chapeau").

Des airs et refrains devenus classiques à reprendre en cœur !

Maison de la Vie Associative - 28, rue Victor-Hugo

 Contact : kazart@neuf.fr

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22 janvier 2010 5 22 /01 /janvier /2010 10:12

solleville - venge la vieNous vous annonçons la sortie d'un coffret de 5 CD, retour sur la période de 1959-1983 de la carrière de notre amie Francesca Solleville qui a fêté l'an dernier ses 50 ans de chanson.

Comme le souligne L'Humanité du 19/01/10, Francesca Solleville, c'est "la pasionaria d’un art au service des plus démunis, qui a gardé une énergie sémillante" 50 ans d'un "un parcours riche et sans compromis. Il suffit de lire les titres du coffret de cinq CD fêtant le jubilé de la chanteuse, Francesca Solleville venge la vie – 1959-1983. Cette rétrospective n’est autre qu’une flamboyante symphonie de la conscience. S’y côtoient seulement des plumes majuscules  : Aragon, Ferrat, Ferré, Jean Genet, Maurice Fanon, Mac Orlan, Nazim Hikmet, Pablo Neruda…"

On vous invite à retrouver aussi Francesca Solleville en concert :
- Lundi 1er février, au Bataclan
- Lundi 8 mars, au Casino de Paris, concert hommage à Allain Leprest


Quand Francesca Solleville parle de Jean Ferrat
"Avec le discours sur l'identité nationale, on n'a qu'a chanté Ma France, et puis allez hop on ferme tout et on va boire un coup !"
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31 décembre 2009 4 31 /12 /décembre /2009 15:07

Lu dans l'Humanité du 21/12/2009, l'évocation de l'année par le chanteur-poète Allain Leprest (qui vient de se voir décerné le prix Sacem 2009 et a reçu en mai dernier un Grand Prix « In Honorem » pour l’ensemble de son oeuvre par l’Académie Charles Cros) :

leprest_08.jpg
A chaque année suffit sa peine et celle-ci l’a bien valu lanturlu. Et même ses peines on pourra dire lantirlire. 2009 sonne la clôture. Autant se défausser un peu quand on est comme moi fâché avec la chronologie pour en brosser le panorama. Je sais que je ne devrais pas dire cela en cette année précise où il est clair que l’Histoire avec un grand H est devenue pour le pouvoir en place un enjeu. Son acharnement à la tronquer, l’événementialiser, la vulgariser, la réduire à peau de chagrin, montre combien elle est pour lui un obstacle à sa légitimité, sa pérennité. Il y a la petite histoire d’entre Paris-Mâcon sur la banquette du train et la grande, celle qui relie les faits et les mouvements des hommes. La grande histoire des trains des déportations des migrations. Pauvre chanteur  ! Citoyen mais rêveur quand même. Un gosse qui meurt de faim toutes les cinq secondes, l’évasion d’un « Treiber » ou d’un « trader », les ventes d’armes, les piquouses du Tour du France, les mouvements d’argent  : il trouvera ça dégueulasse. Or, où tout passait comme un polar opaque, l’esprit logique s’écrira relevant chaque indice et chaque preuve  : « Bon sang mais c’est bien sûr  ! » Et nous y sommes… Le fric, le tout-fric, la jonquaille, les biffetons, ou les talbins comme les chante l’ami Sanseverino. Il ne vaut mieux pas que le chanteur se mette trop à « bouboutiser », surtout qu’il continue de « cocalaniser », de « marouboudeficelliser ».

Tient, il neige  ! Voyez, je commence à l’envers sur les pieds, sur les mains, je suis un saltimbanque. Il neigeait aussi au début de l’an écoulé. Mail à l’endroit, mail à l’hiver, gros zéro pour la planète. De Kaboul à Copenhague. Zéro à la queue leu leu pour les banquiers. Saltimbanque, je vous le disais d’emblée, hop  ! Tire groupé. Dans ce mot il y a « sale » et il y a « banque », pour ça peut-être que je pense à la neige, au blanchiment  : on en parle beaucoup en ce moment. On n’a guère entendu parler de relaxe à l’égard de militants syndicaux acculés à la résistance active. En tout cas, qu’on le sache depuis cette fin décembre, 70 000 euros devient une somme trop modique pour justifier des poursuites envers un justiciable. Le délit d’initié devient légal et qui fera la promesse au fisc de rapatrier ses lingots détournés vers des paradis fiscaux se verra exonéré d’amende. En attendant il neige et les flocons couvriront bientôt les cartons de cadeaux qui ça et là couvrants, toits d’infortune, joncheront porches, replis d’escalier, couloirs de métro. On distribue la soupe à l’entrée de Lachaise. Les sans-papiers tractent sans relâche près de mon kiosque à journaux. Pour eux Noël sera quand même là. Soit mauvais écho d’une vie ratée déchue parce que plus de boulot, cinquante balais et pas de Rolex, soit aurait pu mieux faire et on fera quand même, soit si tout ça c’était pour ça… En tout cas, maintenant pour un grand nombre la misère a deux vitesses. Ceux qui s’en tirent tout court et ceux qui s’en tirent une balle dans la tête, aux Télécom ou ailleurs.

Bien sûr tout n’est pas si noir, sous ces premiers tourbillons. Il y a de la combativité encore et toujours dans les rangs du potager et des plus jeunes aussi. Des sourires qui refleurissent sur des visages guéris, il y a des naissances et des renaissances. Pour autant devrions-nous à chaque inventaire nous contenter de ce qu’on nous présente comme un juste équilibre face à la rigueur que nous imposent les « temps qui courent ». La rigueur offerte en contrepoids obligatoire à la moindre réjouissance, à la moindre conquête. Des guérisons contre des suppressions de postes dans les hôpitaux publics, des naissances contre des fermetures de maternités, la prise de conscience pour tout ce qui touche à l’environnement en en excluant le mouvement social. Il neige et Soulages est à Beaubourg. J’aime Soulages et ses cheveux blancs. J’aime les peintres, les artistes têtus en général. Lorsque petit sa mère s’interrogeait devant la noirceur de ses dessins, il répondait  : « La neige. » Singulière cette approche. Inversé le fond, le support du « ce qui saute aux yeux ». Cela me fait penser à la disparition d’un chanteur et musicien black  : Bashung. Pourquoi black  ! Pour l’avoir vu et écouté deux fois sur la grande scène de l’Huma. Lumineux et sombre dans l’incantation. Vibrant, dansant, tout entier de l’intérieur, les mains nouées à la racine du micro, communiant. Élégant barde emmenant derrière sa houppelande une foule aux yeux mi-clos. Résistant sans ciller au mal sur le plateau de son Vercors.

Neige-t-il sur Gaza  ? Peu prolixes la plupart des gazettes au sujet de Gaza. Syllabe solaire et étouffante, colonne si maigre dans la presse à l’égal de cette bande de terre où sont confinés des millions d’humains en quête d’identité, de soins, de nourriture, de carte de travail. Et toujours à l’angle de ma rue, devant l’agence d’intérim, les sans-papiers dans le froid maintiennent le piquet et occupent. Des travailleurs. Ce sont eux et leurs parents qui ont contribué à façonner ce creuset où nous vivons ensemble et que le ministre Besson s’apprête à vider de sa substance-nation par le biais de réponses anonymes à un questionnaire truqué. Les rejetons des bourreaux de Manouchian et de Môquet serrent les coudes et se frottent les mains. Sangatte dans la foulée, des serruriers qui forcent des portes invisibles, des huissiers qui saisissent des balluchons. Des charters pour des destinations dévastées. Voilà le lustre que donne le sarkozysme à la République des sans-culottes. Heureusement l’exemple donné par les frangins antillais entre autres de la solidarité nous prouve que la fatalité n’a pas jeté son voile jusqu’en 2012.

Bulle spéculative, OPA américaine sur la grande boucle, cercle de jeu et roulette russe à la Madoff  : tout est rond et plus rien ne tourne, on licencie, on délocalise. Au club du Fouquet’s récemment labélisé confrérie de la Légion d’honneur, on a des petites idées. Certains de ses membres sont sur les rangs pour l’entrée légale des jeux en ligne. Rentabilisés le désespoir et la pauvreté. Il ne restait plus que cela  : des pavillons, des cartes de crédit, des tapis, des micro-ondes, à saisir dans les poches de ceux qui veulent rester à flot simplement ou qui céderont à l’appel du gain facile. Rage, dépression, suicides annoncés, tout retourne à la banque  !

Je ne sais pas vous, moi, avant d’abandonner mes illusions de rentier, j’aimais le Monopoly. On jetait nos deux dés et hop  ! Une liasse de biffetons en main on achetait un petit hôtel à Belleville, le tour suivant une baraque rue Saint-Honoré. Parfois, la chance nous portait à tirer une carte sur laquelle était écrit « la banque vous autorise un découvert de 10 000 francs ». On était teigneux à ce jeu mais c’était pour rire. Ah  ! Ce qu’on n’aurait pas aimé y jouer avec le petit prince Jean. À tous les coups il aurait privatisé les gares, l’eau et l’électricité, piqué toutes les cartes chance et demandé des stock-options sur toutes les mauvaises, saisi ce qu’il pouvait d’hôtels et de bicoques.

Pour ce Noël, dites à vos enfants de faire une croix sur le Mono-cosy.

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Leprest.jpg
A ne pas rater : la sortie du 2e CD "Hommage à Allain Leprest" avec Alexis HK, Amélie-Les-Crayons, Adamo, Olivia Ruiz, Clarika, Claire Lise, La Rue Ketanou, Kent, Anne Sylvestre , Flow, Romain Didier, Bruno Putzulu, Gérard Pierron, Gérard Morel, Isabelle Mayereau...
On y retrouve également avec enchantement notre amie Francesca Solleville. Point de colère ni de révolte pour son interprétation de "Je ne te salue pas" mais une confidence tout en douceur. A écouter sans modération !

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20 décembre 2009 7 20 /12 /décembre /2009 09:30

rosnay.jpgEn hommage au poète Jean-Pierre Rosnay, décédé le 19/12/2009 :

JETEZ VOUS SUR L'AVENIR

 

Jetez-vous sur l'avenir
Au vol,
comme l'indien
sur les reins du cheval sauvage
Et n'en cherchez pas davantage
Prenez votre monture au col
foncez
Avalez le temps avant qu'il ne vous avale
Frappez des deux talons les flancs de la cavale
Yeux fermés
Cheveux au vent
Lèvres entrouvertes
Courez courez à votre perte
Allez au-devant du temps
Faites voler en éclats
horizon et raisonnements
Tout ce qui est inerte ment
Prenez les devants
Bousculez Dieu comme une idée reçue
Ruez-vous sur l'avenir avant
que les vers ne vous mangent Pressez votre coeur
comme on presse une éponge
Faites-lui rendre tous les prénoms
Tous les instantanés d'amour
Tous les rêves inassouvis
Qu'il a stockés
Dans ses greniers
Sur cette plage
Cette photographie
Cette barque
Ton sourire
Le premier de nos enfants
Le second
Sable mer vent Qui parle ?
Taisez-vous
Laissez-moi seul
Avec ces bruits de pas dans le cimetière
Il est tard
Dire qu'il sera toujours trop tard
La grande nuit morte monte et persiste
Jetez-vous sur l'avenir
Ou par la fenêtre
Allez
ne vous retournez pas
Laissez les autres suivre votre enterrement
mais ne soyez pas du cortège
Opposez n'importe quoi à l'inertie
ne fût-ce qu'une plume ou un flocon de neige
Et que celui qui possède encore des yeux
Les ferme
Avant que le flocon
ne fonde sous ses regards impuissants

 

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15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 22:41
Notre amie Francesca Solleville est en concert du 16 au 20 décembre à la  Maison de la Poésie à Paris (Passage Molière, 157 rue St-Martin - Paris 3e)

solleville.jpg
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5 décembre 2009 6 05 /12 /décembre /2009 12:59

Lu dans Le Parisien du 05/12/09 :

"C’est terminé. L’aventure de la Gare expérimentale implantée en bordure du périphérique s’est achevée sur une voie de garage, à Montrouge. Officiellement ce squat d’artistes, « centre culturel autogéré », n’existe plus. [...] Il y a un an, les artistes de la Gare expérimentale s’étaient installés dans cette ancienne gendarmerie après une conciliation réussie avec le propriétaire, l’AFTRP, un service foncier de l’Etat. Mais l’accord prévoyait de libérer les locaux dans un délai d’un an. [...] La Gare XP comptait huit associations, sept troupes de théâtre et trois groupes de musique réunis autour de projets liés au spectacle vivant et aux nouvelles technologies, qui organisaient régulièrement des concerts et spectacles le week-end. [...] Parmi les associations mises à mal par la fermeture de la Gare XP, l’Amap locale. « Depuis début 2009 nous sommes hébergés ici. On organise les distributions dans l’ancienne écurie une fois par semaine. On ne sait pas où aller », analysait Hélène en début de semaine.

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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 11:23

Lu surCitoyens en Liberté, d'après un article du Courrier international:

"Trente-six ans après le crime de Víctor Jara, les Chiliens auront pour la première fois la possibilité de dire au-revoir à l'un des musiciens les plus importants de l'Histoire", écrit le quotidien chilien La Nación.

Tué en septembre 1973, quelques jours après le coup d'Etat de Pinochet, le cadavre du poète et chanteur Victor Jara avait été retrouvé criblé de balles. Il avait ensuite été enterré au Cimetière général de Santiago, tout comme Salvador Allende. Depuis, ses proches attendent de connaître la vérité sur son assassinat. En juin 2009, la justice a décidé d'exhumer ses restes afin de fournir de nouveaux éléments aux enquêteurs. En 1973, seulement trois personnes avaient assisté à son enterrement, explique le journal. Il ajoute que tout sera cette fois bien différent. La fondation Víctor Jara a choisi d'organiser à partir du 3 décembre trois journées de célébrations ininterrompues. Des concerts, des spectacles de danse, des lectures de poésie se succèderont dans un centre culturel. De là, partira un cortège, le 5 décembre, qui accompagnera la dépouille de Víctor Jara dans sa dernière demeure au Cimetière général.


"Chanson pour Victor Jara" interprétée par Francesca Solleville :



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29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 00:03
Le dessinateur Jacques Tardi et la chanteuse Dominique Grange ont failli répondre positivement à l'invitation de la section de la LDH pour une rencontre-dédicace sur Malakoff. Mais les aléas des agendas ne l'auront pas permis. Espérons que ce n'est partie remise...

En attendant nous ne saurions que vous conseillez de vous procurer la dernière BD de Jacques Tardi "Putain de guerre" ainsi que le livre-CD de Dominique Grange «Des lendemains qui saignent» illustré par Jacques Tardi avec des dessins sur les musiques de la guerre (Livre-CD, Casterman, 82 p., 19 euros).



Au ravin des enfants perdus - Chanson pour Vauquois - Dom Grange

http://www.myspace.com/dominiquegrange
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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 20:22

Lu dans Le Monde du 16/11/09 :

Eric Raoult, député UMP, rapporteur de la mission André Gérin sur la burqa et l'identité nationale, demande au ministre de la culture de rappeler à Marie NDiaye, qui avait osé critiquer la "France de Sarkozy", "le devoir de réserve dû aux lauréats du prix Goncourt (...) prix littéraire français le plus prestigieux".

Il trouve les propos de Marie NDiaye "peu respectueux (...) à l'égard de ministres de la République et plus encore du chef de l'Etat", et précise qu'"une personnalité qui défend les couleurs littéraires de la France se doit de faire preuve d'un certain respect à l'égard de nos institutions, plus de respecter le rôle et le symbole qu'elle représente", et suggère "de rappeler à ces lauréats le nécessaire devoir de réserve, qui va dans le sens d'une plus grande exemplarité et responsabilité".

Ainsi le "devoir de réserve" ne concerne-t-il plus seulement les fonctionnaires soumis au pouvoir hiérarchique du ministre dont ils dépendent, mais aussi les écrivains. Pour M. Raoult, Marie NDiaye "défend les couleurs littéraires de la France", donc elle "se doit de respecter la cohésion nationale et l'image de notre pays". Faudrait-il donc classer les candidats au prix Goncourt par équipes nationales et leur faire chanter La Marseillaise en cas de victoire des "couleurs littéraires de la France" ?

Au cas où ce député si proche du président de la République serait tenté d'appliquer à Marie NDiaye la formule empruntée par Nicolas Sarkozy à Jean-Marie Le Pen : "La France, on l'aime ou on la quitte", il n'est peut-être pas inutile de lui rappeler que si les ancêtres de Marie NDiaye sont rangés par le discours de Dakar dans la catégorie de "l'homme africain incapable de s'élever vers le progrès", elle n'a besoin ni de carte de séjour pour être notre concitoyenne ni de conseils en docilité pour "s'intégrer".

Dérive éthique

Reste à savoir quelle sanction le député souhaite que le ministre de la culture lui applique : interdiction d'accorder des interviews avec sursis et mise à l'épreuve ? de publier ? de faire partie de l'"équipe de France" littéraire pour le prochain prix du président de la République ? Jusqu'où ira la dérive éthique qui traverse, depuis de longues semaines, le gouvernement actuel et sa majorité parlementaire ?

Marie NDiaye expliquait, dans l'entretien qu'elle a accordé aux Inrockuptibles et qui a suscité l'injonction identitaire du député du Raincy, pourquoi elle avait choisi de vivre à Berlin depuis 2007 : "Si Angela Merkel est une femme de droite, elle n'a rien à voir avec la droite de Sarkozy : elle a une morale que la droite française n'a plus." On saura gré à M. Raoult d'en avoir apporté une nouvelle preuve particulièrement éclatante.


Jean-Pierre Dubois est président de la Ligue des droits de l'homme (LDH).

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8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 11:20

BAGNEUX

Lu sur Bagneux Blog Jeunes :

Durant 3 jours, du mercredi 28 au vendredi 30 octobre 2009 s'est déroulé le festival "Regards jeunes sur la cité" à l'Espace Reuilly à Paris. Ce festival présente différents courts-métrages réalisés par des jeunes de la France entière.

Le service jeunesse était représenté par les jeunes du Conseil Local de la Jeunesse qui avaient réalisé un court métrage autour des discriminations intitulé "Au fond des yeux", écrit et tourné durant le premier semestre 2009 avec la Maison Citoyenne.

96 films étaient en compétition cette année et le 1er prix fut décerné aux jeunes du CLJ. Durant la remise des prix, le président du jury, Pierre BEFVE (Chef opérateur image et son) a souligné la qualité du travail cinématographique et son concept, délivrant "un message fort porté uniquement par des images, sans l'ajout de dialogues".

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  • : Ligue des Droits de l'Homme : LDH Bagneux-Malakoff-Montrouge
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